- rassemblement des participants à
16H00 à la place des platanes (place du marché) pour un départ vers 16H30 -
passage devant la mairie / place de l'Europe avec une prise de parole
prévue - descente vers le bas de Saint Pierre, via l'hôpital, la scierie et
le quartier de la gare avec arrêt régulier pour interpeller, témoigner,
échanger - arrivée à la salle des fêtes de St Pierre (la treille) pour une
animation surprise et un pic nic à partager ensemble (vers 18H00)
Cet
appel est collectif, départemental et régional (la
marche se poursuit le jeudi à Chambéry, vendredi en Nord Isère et le samedi à
Lyon), et ATD Combe de Savoie est partenaire de la marche, et un peu plus
impliqué ce mercredi. L'ACA est également dans ce comité et on espère rassembler
d'autres associations locales.
L'objectif étant notamment d'interpeller
le maximum de personnes
(élus, passants, vacanciers...) pour les inviter à nous rejoindre, c'est
toujours plus facile si on est (très) nombreux ! Alors, seul, en famille, ou
avec des amis, des connaissances...
Venez nous rejoindre ce
mercredi 30 juin à 16H00 à St Pierre pour marcher ensemble contre la misère et
la pauvreté.
Merci de diffuser largement ce message
pour que l'on soit le plus nombreux possible, A bientôt
Parce ce que cet accueil était riche en émotions, parce qu'il nous a poussé à nous interroger sur nos valeurs, sur notre rythme de vie, sur l'importance que nous donnions (ou pas) aux petites choses simples de la vie : un moment ensemble, un bonjour, un sourire ou juste un regard.. Parce que tous ces moments ont fait, font et feront à jamais partie de nos histoires à tous et que nous en sommes ressortis grandis, et parce que les témoignages qui en ressortent sont tous si débordants de joie, de mélancolie et d'espoir aussi... les voici :
"Bonsoir tout le monde, Quelle épreuve de revenir à la maison en vivant un
manque. Nous nous sommes lancés dans l'aventure mon épouse et moi, comme cela.
Avec beaucoup de respect pour les enfants qui venaient d'aussi loin et
n'oublions pas, issus d'un pays très pauvre. Nous avons la fibre humanitaire et
n'hésitons pas à relever nos manches de temps en temps pour tenir un petit stand
dans une fête, au profit de mères célibataires habitant le bidonville de
ténénérive à Madagascar. Il y a dix jours, nous avons reçu une gentille fille,
prénommé Lhadol. Elle avait de grands yeux noirs et le sourire d'un ange. Pour
communiquer nous avions quelques mots d'anglais appris il y a 22 ans pour ma
part, dans une école. Depuis le temps a fait son oeuvre et les mots appris se
sont dissous. Alors nous avons communiqué avec le peu de mots restant, nos
mains, nos yeux et beaucoup de coeur. N'est-ce pas cela le langage international. Durant ces dix jours nous avons rencontré d'autres personnes qui
vivaient la même chose que nous. C'est la raison pour laquelle je réponds à ce
mail ce soir. J'ai retiré plusieurs choses de notre aventure. J'ai vu des
enfants et des adultes qui vivent dans des conditions extrêmes, à différents
points de vue (pauvreté), (scolarité loin de la famille), (éloignement), (un
réfugié politique qui ne sais pas s'il pourra rentrer chez lui), tout cela à
4000 mètres d'altitude, sans perdre le sourire. C'est une grande leçon de
vie qu'ils nous montrent. J'ai vu des gens qui avaient un coeur, simple,
chaleureux et sincère. Ce n'est pas toujours le cas dans notre vie de tous les
jours. Des gens qui pouvaient faire une chanson en notre honneur, musique et
paroles durant leur séjour. Pour toutes ces choses et bien d'autres. J'ai été
très fier d'appartenir à la caravane Tisser la paix. Puisse t-elle continuer à
tisser. Amitiés à tous
"Mon dieu que répondre a tout cela, tout a été dit, comme l'a dit une amie on a
l'impression de nous avoir arraché quelque chose et pour moi c'est exactement ce
que je ressens , nous avons accueilli tashi avec joie dans notre famille , avons
passé de merveilleux moments ensemble et avons du nous quittés, le pire est de
ne pas savoir si on le reverra un jour!!!! il en est de même pour certains
adultes que nous avons rencontré dans des moments privilégiés. ce sont des
personnes fantastiques. bref ce fut une merveilleuse expérience et qui sait
peut être recommencerons nous un jour à tisser!!! cathy"
Oui, nous avons
vécu une semaine riche en expériences, en émotions par la découverte de nos amis
Ladakhis, mais aussi par la rencontre d'habitants du canton et des
environs.
Autant de moments
qui ont révélé, du plaisir, de l'écoute, du partage, de la (re) connaissance de
l'autre et de la simplicité dans les échanges (ça fait du bien !!!!) ...
Autant de moments
aussi, qui nous interrogent bien évidemment sur notre manière de vivre, sur nos
priorités quotidiennes... Tout cela, ça remue . !
Je
reprendrai une des valeurs défendues par le centre socioculturel
ALCC :
S'associer en
portant ensemble un projet. C'est ne pas agir seul ! Mais agir par l'action
collective
J'en suis
persuadé.. l'énergie de tous participe au
changement !
A titre personnel
et professionnel, j'espère qu'il sera possible de poursuivre et/ou de renouveler
ensemble d'autres aventures, qu'elles soient locales ou plus éloignées de chez
nous.
Au plaisir de
nous revoir pour échanger sur les « champs du possibles »
A
bientôt
Philippe Moisan, Directeur du Centre Socioculturel A.L.C.C."
"Ma petite Clara est encore toute retournée. Quelle est forte la chaleur diffusée par cet accueil, comme l'immense vague des rêves de l'enfance. Merci à tous, sans vous rien ne serait fait. Merci car avec vous, avec eux une page colorée de bonheur simple et d'humanité partagée s'est écrite et j'en étais.
Djulley
Voici une légende hindoue que je voulait vous faire partager...
Une veille légende hindoue raconte qu'il y eut un temps où tous
les hommes étaient des dieux ; mais ils abusèrent tellement de leur divinité que
Brahma, le maître des dieux, décida de leur ôter le pouvoir divin et de le
cacher à un endroit où il leur serait impossible de le retrouver. Le grand
problème fût donc de lui trouver une cachette
Lorsque les dieux mineurs furent convoqués a un
conseil pour résoudre ce problème, ils proposèrent ceci : - « Enterrons la
divinité de l'homme dans la terre. » Mais Brahma répondit : - « Non,
cela ne suffit pas, car l'homme creusera et la trouvera. » Alors les dieux
répliquèrent : - « Jetons la divinité dans le plus profond des océans. »
Mais Brahma répondit à nouveau : - « Non, car tôt ou tard, l'homme
explorera les profondeurs de tous les océans, et il est certain qu'un jour il la
trouvera et la remontera à la surface. » Alors les dieux mineurs conclurent
: - « Nous ne savons pas où la cacher car il ne semble pas exister sur terre
ou dans la mer d'endroit que l'homme ne puisse atteindre un jour. » Alors
Brahma dit : - « Voici ce que nous nous ferons de la divinité de l'homme :
nous la cacherons au plus profond de lui-même, car c'est le seul endroit où il
ne pensera jamais à chercher. »
Depuis ce temps-là, conclut la légende, l'homme
a fait le tour de l'a terre, il a exploré, escaladé, plongé et creusé, à la
recherche de quelque chose ... qui se trouve en lui.
Anonyme
N'auriez vous pas vous aussi l'impression d'avoir retrouvé
quelque chose durant cet échange??? Pour ma part j'ai pris conscience que
nous appartenons à une humanité commune plus fondamentale que tout autre
appartenance. L'ouverture aux autres, c'est grandir... Quelle aventure et
que d'émotions...demain s'il le faut je recommence sans aucune hésitation avec
eux..avec d'autres..Merci,
Lionel Bastiand, Directeur de l'école de Chindrieux"
Pour ceux qui n'ont pas eu la chance d'assister au spectacle au Théâtre du casino d'Aix les Bains cette semaine, ou pour ceux qui veulent encore vibrer d'émotions, allez y sans hésiter les 20 et 21 mai :
- à Lyon Vaise, église de l'Annonciation, Place de Paris - à 19h00 le 20 mai - à 20h00 le 21 mai
Tarifs: 10 euros pour les adultes (tarifs réduits pour les enfants)
(Les recettes des soirées serviront à rembourser les frais engagés pour l'achat des billets d'avion)
Familles, amis de la caravane, venez témoigner et nous faire partager votre expérience de ce spectacle fabuleux ! A vos claviers!
Et à venir : les photos, témoignages et résumés de l'échange... Familles, venez participer à ce blog..racontez votre histoire!
"Djoulé dzaow dzamo rjak chik nga tang yang skar zomin Djoulé nam thok khamzang Rjak Chik nga tang yangskar zomin"
"Djoulé, mes amis, nous nous reyerrons un jour Djoulé, mes amis, Votre vie sera harmonieuse jusqu'à nos prochaines retrouvailles. nous le souhaitons" ( texte de Zangpo "Djoulé").
Le projet "TISSER LA PAIX" en Chautagne offre aussi au grand public l'occasion de découvrir et de partager toute la dimension musicale et artistique du Ladakh.
A travers un spectacle exceptionnel de plus de 2 heures la caravane "Tisser la Paix" nous transporte au cœur de sa culture.
Entre danses, chants, musiques et marionnettes, les artistes font voyager petits et grands dans les traditions himalayennes.
Le 12 MAI 2010 - 20h - Au Théâtre du Casino - AIX LES BAINS
Afin de combler notre impatience et notre curiosité,
voici un petit aperçu du dépaysement que le spectacle nous promet...
Nous n'avons pas pu résister à l'envie de vous faire partager le témoignage de Sandrine, l'une des accueillantes du séjour des enfants Ladakhis à La Grave - Villar d'Arène :
Mille mercis aux familles accueillantes du séjour à La Grave - Villar d 'arène, qui ont eu la générosité de partager les photos de ces merveilleux moments avec nous.
Et pour plus d'infos sur le spectacle et les réservations, cliquez ici
"Le Ladakh dans les yeux – projection du film « Migchoou »
-
Participants
au projet de Tisser la Paix entre Lac et Rhône, ou simples curieux se sont
rendus au collège Henry Dunant de Culoz, lundi 10 Mai, afin d'assister à l'une
des rares projections du film « Migchoou » - première production
ladakhie. Prés d'une centaine d'enfants et d'adultes sont donc venus à la
rencontre de Stanzin et Zangpo, les deux réalisateurs du film. Il faut aussi
souligner la présence de Madame l'inspectrice académique de Grenoble, qui a
aussi rendu concrétisable ce projet.
Le
film Migchoou est le fruit d'une ambition commune, celle de faire un cinéma au
Ladakh sous l'œil des Ladakhis. Les réalisateurs ont dû donc pallier les
manques de moyens financiers mais aussi matériels, compte tenu du fait que
l'électricité n'est distribuée que de manière éparse dans l'espace et limitée
dans le temps. « Il a fallu négocier aussi avec l'armée » a rappelé
Christiane Mordelet, qui permit à nouveau, de tisser le lien entre Ladakhis et
Français. Les bandes sons ont été enregistrées à Bombay, puisqu'il n'y a pas de
studios d'enregistrement dans les villes ladakhies.
Pour
rendre leur projet viable, les réalisateurs ont décidé de colorer leur cinéma
d'une « bollywood touch », les Indiens étant notamment friands de
pauses musicales. C'est avec ceci à l'esprit, qu'ils ont choisis des demeures
aisées, le décor fausse ce qu'est la réalité de l'habitat moyen au Ladakh, qui
est un foyer modeste, où se réunit généralement une famille largement composée.
La
famille, telle est une des clefs de ce film. Car si l'aspect matériel a été
l'objet d'un compromis jouant défavorablement à la conception de la vie
ladakhie, il s'agit de mettre au premier plan les principes moraux scandés tout
au long d'une enfance, et qui élève ceux qui les respectent au rang des sages.
On découvre alors que si la vie est un cadeau précieux, elle ne nous est pas
offerte pour que l'on en fasse un usage hédoniste, mais bien le moyen de persévérer
à agir dans l'intérêt de tous. Les prières qu'adresse une mère sur son lit de
mort sont destinées à son seul enfant qu'elle chérit dans l'espoir que celui-ci
parvienne à une situation méritée par les efforts et que cet enfant se
constitue en pensant aux autres. Le caractère éphémère de la vie ne justifie
pas que l'individu se concentre sur son sort, et que c'est au contraire en se
focalisant sur nos propres souffrances que nous nous éloignons de ce que nous devons
saisir dans la vie, telle est la
première leçon que nous apprenons.
La
famille est la sphère dans laquelle on apprend à vivre. L'enfant se doit de
reconnaître le présent de la vie que lui font ses parents, et quelles que
soient les choses à venir, il doit s'en souvenir. Ainsi, Sonam, orphelin devenu
adulte dans une famille recomposée à la suite du nouveau mariage de son père
avec Kunzes, pardonne l'injustice que sa belle-mère lui cause en le négligeant
au quotidien, celle-ci ne se souciant que de son fils Tashi, et que son père
admet d'une certaine manière, puisqu'il a accepté de cacher son premier mariage
à Tashi et qu'il ne sait s'interposer à sa nouvelle femme. Sonam, détourné d'un
avenir scolaire prometteur et cantonné aux tâches ménagères et fermières,
pardonne à ses parents.
La
vie est recherche d'équilibre, voilà un message essentiel du bouddhisme qui
transparait dans ce fil qui nous dépeint un sort pathétique de Sonam en
contraste de celui de Tashi qui semble mieux se profiler. Enfant, Sonam a perdu
sa mère qui voyait en lui un grand potentiel, brisé par un père qui n'a pas su
épauler son enfant, devenu alors une aide essentielle pour gérer la ferme, et
qui s'est par la suite plié aux exigences de sa nouvelle femme. De cette union
nouvelle naît Tisha à qui tout semble sourire. On comprend ainsi le titre Migchoou
: « l'eau dans les yeux », il ne s'agit pas de larmes, qu'on
verserait une fois pour toute, mais plutot d'un poids que la tristesse nous
afflige, et qu'on n'exprime pas pour suivre le cours de la vie. La mère
mourante est désolée davantage de la souffrance de son fils que de sa tristesse
car elle redoutait ce triste sort pour lui.
Or
l'équilibre va être rétabli par une aide incontestable, celle d'un frère qui se
révèle. Tashi a grandi sans connaître son lien de parenté avec Sonam et voyant
ce dernier harassé par de pénibles travaux et mal-en-point, Tashi prend soin de
Sonam, et le temps qui le rapproche délivre le secret de leur fraternité. Tashi
restaure donc la place dont Sonam avait été écarté par Kunzes, il redevient un
membre à part entière de la famille. Puis, Tashi se soucie du bonheur de Sonam
qui attaché au labeur n'avait pu se consacrer à une quelconque affaire de cœur.
Il ressoude une alliance que Sonam croyait perdue par son manque d'instruction
avec la belle et intelligente Nyilza, devenue docteur.
La
boucle est bouclée, lorsqu'on repense aux soucis d'éducation de la mère à
l'agonie. Notre vision occidentale relie ces préoccupations aux espoirs
méritocratiques que l'on place dans un enfant qui a le goût de l'effort et des
facultés pour se promouvoir, ça n'est que superfétatoire si l'on considère
l'ampleur du message. Les craintes de la mère portent sur l'inculcation de
valeurs et de principes qu'elle espère avoir pu transmettre à son fils pour que
celui-ci se conduise en homme bon. Le
dénouement instaure une brèche plus nette à nos yeux, et nous soumet le regard
de cette culture bouddhiste : Nyilza qui semble être la promise espérée de tous
tant par son charme que par le statut qu'elle a su acquérir, recherche avant
tout un époux qui sache se comporter avec un certain respect et selon certaines
valeurs, qui pourraient manquer à des hommes convenablement instruits.
Le dénouement est heureux, et déclencheur
d'émotions plus fortes que celles que nous délivrent n'importe quel happy-end
hollywoodien. Sans doute est-ce la teneur en sincérité du film.
La
projection s'est conclue par un échange extrêmement constructif entre le public
intrigué par des détails du film ou des aspects culturels plus larges. Il a
fallu notamment mettre en lumière certains clins d'oeil bouddhistes tels que le
plan sur le canard pendant l'alitement de la mère, qui a rôle de passeur dans
la réincarnation des êtres vivants. Entre autre, des questions plus terre à
terre ont été abordées touchant à la scolarité au Ladakh ou à l'évolution du
tourisme ou encore aux impacts du réchauffement climatique sur l'environnement
ladakhi. L'interaction a été garantie par un échange vif assuré par Philippe
Moisan qui retenait les questions et Christiane Mordelet qui poursuivait les
traductions. Il est aussi à retenir de cet échange que les réalisateurs ont en
vue de nouveaux sujets qu'ils s'attacheront à concrétiser selon leurs moyens, à
la suite de la présentation de leur film au festival d'Autrans à l'automne
prochain."
Karen Turck
"Bravo à la jeune critique cinéma du blog; elle fait preuve d'une belle force
d'analyse et d'une connaissance du phénomène Bollywood. J'ai également trouvé intéressant le décalage que présente pour moi ce film entre l'idée d'un ladakh
de là Bas et la volonté emergeante d'une jeunesse plus mondialisante ... le tout
sur des fonds de chromos icônes et de chansons entrainantes. super"
Lionel BASTIAND Directeur de l'école de Chindrieux
Si vous souhaitez contacter et/ou soutenir les réalisateurs et créateurs d'HIMALAYAN FILM Studio. Si vous souhaitez acquérir :
Le CD de la Bande Originale du Film - vendue au prix de 10 euros
Le CD de la Musique Originale de leurs précédentes réalisations-vendue au prix de 8 euros.
L'A.L.C.C. ouvrait de nouveau la porte de la yourte, point central de l'échange pour toute la semaine, afin d'offrir un brunch aux familles accueillantes. Déjà, la complicité entre enfants du Ladakh et Savoyard se tissait... Des jeux se sont organisés naturellement entre adultes et enfants et les sourires affichés sur les visages n'ont pas eu besoin de trop de discours pour exprimer la joie ressentie.
Afin de canaliser l'impatience des familles accueillantes et du collectif du projet, la yourte implantée dans les jardins de l'A.L.C.C. a offert à ses visiteurs toute une palette d'infos, de peintures et d'exposés réalisés par les élèves de l'école de Chindrieux. Des images du Ladakh projetées sur grand écran ont permis de mesurer toute la dimension que cet échange promettait..
Enfin...Christiane Mordelet, présidente de l'association Tisser la Paix est arrivée, accompagnée des deux réalisateurs du film MIGCHOOU projeté lundi soir au collège de Culoz suivi de toute la caravane tant attendue !
Après un buffet d'accueil préparé tous, chaque enfant et adulte ladakhi a pris place au sein de la famille qui lui ouvrira sa maison, sa culture et lui offrira une partie de son histoire pendant près de 10 jours.
L'école de Chindrieux, le centre A.L.C.C., les élèves, les familles accueillantes et non-accueillantes de Chautagne et des environs se sont mobilisés pour décorer le cœur du village afin d'offrir un accueil coloré et chaleureux à la caravane Tisser la paix dont l'arrivée était prévue ce vendredi 7 mai 2010
L'A.L.C.C. Association de loisirs et culture en Chautagne mène depuis quelques années une action dynamique à travers le territoire Chautagnard entre lac et Rhône.
Disposant de compétences administratives et techniques, ainsi que d'une expérience avérée, elle s'est associée à l'initiative de l'école de Chindrieux et de son collectif (O.C.C.E.), afin de fédérer accueillants et participants au projet de l'association "Tisser la paix".
Au partenariat réussi de Philippe MOISAN (Directeur de l'A.L.C.C.) et Lionel BASTIAND (Directeur de l'école de CHINDRIEUX) se sont joints les établissements scolaires suivants :
- Ecole primaire de Chindrieux (Savoie) - Ecole du centre - Aix les Bains ( Savoie) - Ecole élémentaire de Ceyzérieu ( Ain) - Collège Henry Dunant - Culoz (Ain) - Collège Garibaldi - Aix les Bains (Savoie)